mardi 6 mars 2018

FORUM 10

Retourne aux réponses du FORUM 1. Choisis la réponse d’un de tes collègues. Tu ne peux pas choisir la même réponse qu’un autre élève. Premier arrivé, premier servi. L’adjectif que ton collègue a donné pour décrire le personnage de Karim s’applique-t-il encore? Explique. Donne également un deuxième adjectif qui décrit Karim. Ton paragraphe devrait contenir environ 150 mots.  

12 commentaires:

  1. Pour l’adjectif de mon collègue, j’ai choisi le commentaire du beau, unique, gentil, élégant et incroyable Justin Milley qui lui avait choisi l’adjectif frustré pour représenter moralement Karim. Je crois que cet adjectif s’applique encore à sa personnalité malgré l'apparition de nouveaux sentiments. En fait, on voit Karim se frustrer assez rapidement lorsqu’il ne s’entend pas bien avec Maha. Un exemple de frustration chez Karim est à la page 96 lorsque Maha répond à une de ses questions lorsqu’elle parle de quitter pour se diriger vers Chlifa. Karim répond à ce commentaire « Mais arrête d’ergoter sur des détails! ». Cette réponse de la part de Karim démontre qu’il se frustre très vite sur les petits détails.

    Après avoir vu les différents sentiments, réactions et comportement de Karim, je crois que l’adjectif résilience est de loin l’adjectif qui représente le plus Karim dans l’histoire. Malgré la mort de Nada, il a su se montrer fort et être capable de continuer son chemin et passer à autre chose. Le décès de Maha fut encore plus difficile à surmonter pour Karim que la mort de sa soeur. Même si la mort de Maha fut difficile à surpasser, il a été capable de s’intégrer à sa nouvelle classe et à se faire de nouveaux amis. Bref, Karim est un personnage très résilient.

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  2. J’ai choisi l’adjectif de Nathalie Shuh, elle avait choisi l’adjectif renfermé pour représenter Karim au début du roman. Selon moi, l’adjectif que ma collègue a donné pour décrire le personnage de Karim ne s’applique plus. En fait, Karim était très ouvert avec Béchir, Nada et Maha tout au long du deuxième parti. À la page 187, Karim taquine Maha. À la page 71, il embrasse Nada. Quelqu’un qui est renfermé ne ferais pas ça. De plus, Karim exprime bien les émotions qu’il ressentait pour Nada à Béchir. Aussi à la page 245, le narrateur dit «(…)il participe plus aux activités, aux discussions.»

    Un adjectif que je donnerais à Karim maintenant que je le connais plus, serait dépendable. En fait, pendant leur route, Karim fait les vaisselles tandis que Maha prenait soins du bébé. De plus, il a eu le « … temps de préparer le lait et de faire les tartines… ». Bref, l’adjectif renfermé ne décrit plus Karim mais plutôt, dépendable.

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  3. La réponse que j’ai choisie c’est la réponse d’Amilie. Elle décrit Karim en étant un garçon triste. Je crois qu’à la fin de roman, je suis encore capable de dire que Karim est effectivement un gars triste. Il est triste car son pays est en guerre, son meilleur ami est en France, son aimante est morte, Maha elle aussi s’est faite assassinée, il est au Canada et finalement il abhorre, exècre et abomine l’hiver et la neige. Par contre, je crois qu’à la fin du roman, il est capable de mieux gérer sa tristesse. Il est un peu plus optimiste. Je le décrirais alors comme un garçon fort. Il a une mentalité fort ainsi qu’une certaine force physique puisqu’il a survécu dans la nature.

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  4. Pour ce forum, j'ai choisi l'adjectif de l'intelligente Sarah qui est l'angoisse. Je crois que même qu'à ce point, Karim fait toujours preuve d'inquiétudes et éprouve de la difficulté à laisser prise et de vivre au moment prêt. Comme exemple, à la page 175, Karim à dit « elle n'est quand même pas parti en abandonnant son frère». Ce qui prouve encore une fois, que Karim n'a pas surmonté ses peurs et ses soucis. Avec ce qui est arrivé à Nada, tête noire et Maha, il est compréhensible que Karim soit incertain que la vie et qu'il ne s'attend pas qu'elle lui réserve des cadeaux à ce point-ci.

    Pour deuxième adjectif j'ai trouvé que Karim est un adolescent très en colère. La haine qui a grandi en lui est tellement rendu forte qu'il n'apprécie même plus la vie. Le contact humain est désormais désagréable pour lui. J'imagine qu'après avoir perdu autant d'amis en peu de temps d'attacher à une personne n'est plus une option.

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  5. J'ai choisi d’utiliser l’adjectif de la merveilleuse Vashuki . Elle avait décidé de décrire Karim comme un garçon brave et cela s’applique clairement tout au long de l’histoire. En fait, du début jusqu’à la fin du livre Karim démontre sa bravoure dans plusieurs choses qu’il atame . Pour débuter, il décide de mettre sa personne de côté pour défendre My-Land, une jeune collègue de classe qu’il connaissait à peine. Par la suite, il décide de rester dans un pays en guerre quand il avait l'opportunité d’aller dans un pays sécuritaire et libre. De plus, il accepte d’accompagner Maya dans sa route dangereuse et ne la laisse jamais tomber. Karim ne fait pas simplement preuve de bravoure devant ces obstacles difficiles mais aussi devant ses propres pensées et son vécu. Il démontre une force intérieure inimaginable durant toutes ses aventures.

    Après ma lecture entière du livre je décrirai Karim comme un jeune homme admirable à mes yeux. En fait, après le départ de ses parents, le déménagement de son meilleur ami, la mort de sa bien-aimée, la mort de son acolyte, la responsabilité de Jad, l'arrivée au Canada et la bataille avec Dave, il arrive malgré tout à écrire à la page 247, 21 choses qu’il apprécie dans son nouveau pays. Je trouve admirable la personne qu’il est, il a vécu tellement de choses, il a perdu tellement mais il se concentre plutôt sur ce qu’il a et garde la tête haute. Ce qui m'a le plus marqué dans l’histoire c’est ses paroles à la page 240. J’admire sa façon de penser, « to be or not to be» ou bien « je ne sais pas encore pourquoi je vis mais il me semble qu'on n’a pas le droit de se laisser mourir» . Toutes ces paroles dans cet parti du texte sont admirables, il décide de se trouver une nouvelle raison de vivre, vivre pour ceux qui son mort et qui aurait aimé vivre. Après tout ce qu’il a dû passer au travers, il décide de vivre pour que leurs morts n’est pas été inutile, pour ne pas les abandonner dans l’oubli. Bref, Karim est admirable pour la personne qu’il est et pour ce qu’il est devenus, mais surtout pour son optimiste après tous les épreuves qu’il a dû vivre.

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  6. La belle Lily-Ann avait décrit Karim comme indépendant pour le premier forum. Cette adjective s'applique quand-même, tout au long du roman mais on ne le vois pas vraiment. En fait, dans la première partis du livre, on vois Karim comme une personne indépendant, comme que Lily-Ann avait mentionné dans son forum. Ensuite, dans la deuxième partie, quand Karim est partis avec Maha, on voyait à peine cette personnalité. Ils s’aidaient entre eux tout le long de leur aventure jusqu’à que Maha se fait violer. Par exemple, après voir que Maha était violer, il n’est pas aller chercher de l’aide, il l’avait apporté jusqu’à Chlifa lui-même puisque Maha le désirait et il prenait soin de Jad tout seul. Alors, Karim est bel et bien une personne très indépendante.

    Un deuxième adjectif qui décrirais Karim, après lire tout le roman, est soigneux. En fait, tout au long de son aventure, il prenait soin de Maha, Jad et Tête noir. Par exemple,(p. 199 et 200) quand Karim avait entendu une explosion, il paniquait et regardait pour Maha pour être sûre qu’elle n’est pas morte. De plus, même après que Maha avait décédé, il l’avait apporté avec lui jusqu’à Chlifa. «Elle voulait aller au Chlifa, elle va aller à Chlifa»(p.227). Ceci est la raison pourquoi qu'il avait fait cela. Bref, tout au long du roman, il était un homme très soigneux.

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  7. Dans le premier forum, la formidable Océane Lepage a choisi l’envie pour décrire moralement le personnage de Karim. Maintenant que nous connaissons l’histoire complète de ce garçon, je peux affirmer que ce mot ne lui appartient plus. En fait, la première partie du roman est narré, sans contexte des évènements du passé, par une fille dans la nouvelle classe de Karim. Il est donc juste de dire qu’elle ne savait pas comment justifier les actions différentes du jeune homme. En conséquence, les vraies intentions de celui-ci sont peut-être cachées dans cette section. Pour continuer, les extraits du journal de Karim, trouvés dans ce chapitre, démontre les sentiments, peut-être même exagérés de l’adolescent. Je crois que l’émotion véhiculé dans ces pages est non de l’envie mais d’un chagrin à propos de la situation au Liban. Cependant, nous ne le saurions pas à moins de lire le livre en entier. Pour finir, dans la dernière partie de l’histoire, il est affirmé, encore une fois, que ce sentiment d’envie n’existe plus, puisqu’il rédige finalement la liste des 21 choses qu’il aime de sa situation au Canada.

    L’adjectif que je crois décrit le mieux Karim Nakad, même après toutes ces évènements est vainqueur. Karim a vaincu les bombardements et les hostilités de la guerre au Liban. Il a vaincu la Route de Chlifa et il a même vaincu la mort, à plusieurs reprises. Je ne sais pas si tout ceci a lieu puisque ce garçon est, tout simplement chanceux, mais je crois que c’est plus que ça.

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  8. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  9. J’ai décidé de prendre l’adjectif de juliane, qui a très bien expliqué pourquoi Karim serait solitaire. Donc durant le roman on peut dire que Karim est solitaire, surtout au début du roman. En fait, pendant la première partie, Karim est solitaire, principalement à l’école, comme que Juliane avait mentionné, «Ce jeune homme ne parle pas a personne et se fait très clair qu’il n’est pas intéressé à aucune compagnie». Pour continuer, dans la deuxième partie, quand Maha et Karim font leurs parcours vers Chlifa, ils n’étaient pas solitaires. Les deux s’entraident et ils sont toujours ensembles pour être plus en sécurité. Comparé au début, quand Karim ne voulait rien savoir des autres et voulait être seul. Faire le parcours seul aurait été encore plus dangereux. Après que Maha soit morte, Karim décide de l’apporter à Chlifa, en solitaire, avec Jad. Alors Karim avait un côté plus solitaire, mais durant de situations plus dangereuses, comme aller à Chlifa, s’était une meilleure idée de ne pas y aller seul. Un deuxième adjectif qui décrirais Karim, après lire tout le roman, est brave. Car tout au long de l’histoire, il a vécu des choses horribles et traumatisantes, tout comme Maha. La plus pire pour lui, je crois, serait la mort de Maha. Je trouve cela courageux qu’il ai amené Maha à Chlifa. De plus à la fin du roman, Karim écrit à Béchir les 21 choses qu’il aime du Canada et de sa nouvelle vie (page 247). Ce qui prouve un comportement positif et brave de continuer même avec toutes les situations troublantes. En bref, Karim Nakad a été solitaire au début du roman, mais après avoir rencontré Maha il est devenu moins indépendant. Avec tout cela, il représente l’image du courage, tout comme Maha.

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  10. J’ai décidé de prendre l’adjectif d'Owen, car je trouvais que introverti cest à dire qu’il est une personne qui est timide et aime mieux être toute seule qu'être avec des autres représentait Karim tres bien. En fait même si il avait des amies il n'était pas vraiment ouvert avec eux, et il preferais etre tout seul. Par example a la page 16 Nancy lui demande “T’es pas trop trop jasant, hein?” et il l’ignore. De plus, Karim est quelqu'un qui hait tout, comme ce que nous voyons dans plusieurs de ces entrées de son journal intime. Bref, je suis d'accord avec owen, car je crois que Karim Nakad est un personnage introverti, a cause quil ne parle pas beaucoup, il déteste toute et finalement il a un journal intime ou il dit qu’il n’a pas besoin de personne.

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  11. Pour cette réponse, j’ai choisie l’adjectif de Vanessa. Indépendant. En fait, cet adjectif s’applique toujours à lui. Il est tout de même en retrait mais s’habitue aux autres et à s’ouvrir. Mais j’ai le sentiment que par faute ce qu’il a vécu, il sera toujours indépendant des autres. De plus, au cours de l’enfance de Karim, il a apprit a être indépendant et être sur ses gardes. Il est difficile de se débarrasser des manières que nous avons développé au cours des années. Aussi, je crois qu’un autre adjectif qui décrirait Karim serait peiné. Nous pouvons toujours voir que, même à Montréal, le passé douloureux du jeune libanais le hante toujours. Il est toujours troublé par tout ce dont il a vécu dont la mort de Nada, celle de Maha, les souvenirs de guerre et j’en passe.

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  12. J’ai sélectionnée le mot de ma merveilleuse collègue, Karthiga. Celle-ci a inscrit le mot boudeur sur le blogue. À mon avis, celui-ci n’a plus l’attitude boudeur. Il est plus tôt pensif face à son passé. Lorsqu’il est couché dans son lit d’hôpital, il saisit des choses qui ne lui avait pas passé par la tête au part avant. Il pense à comment il a vécu son aventure à compagné de Maha ainsi qu’à sa famille, l’amitié et l’amour. Il n’est surtout pas satisfait avec sa vie encore, mais il commence à réaliser que la vie qu’il mène présentement est celle qui l’attend pour le restant de ses jours. Bref, je penses que Karim n’est plus boudeur mais plus tôt pensif face à la situation qu’il subit en ce moment

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